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La hauteur de la porte – 50 ama, comme il est dit(72): “Et, depuis la façade de la porte du seuil jusqu’à la façade du vestibule intérieur de la porte, cinquante ama.” Rachi explique, sur place, que le verset parle ici de la hauteur de l’entrée. Le “Levouchei Serad” commente l’opinion de Rachi en soulignant qu’il faut entendre par la hauteur celle des murs du vestibule contigus à la porte et se situant dans le parvis extérieur (cf. infra).
La largeur de la porte – il est dit dans le verset(73): “Il mesura la largeur de l’entrée de la porte, dix amoth; la longueur de la porte, treize amoth.” C’est-à-dire que la largeur de la superficie intérieure de la porte est de dix amoth. Des deux côtés de la porte se trouvent des montants. En sachant que la largeur de chaque montant est d’une ama et demie, la largeur extérieure totale de la porte est donc de 13 amoth. C’est ce qui ressort des paroles de Rachi: “treize amoth: dix en face de l’ouverture de la porte ; une ama et demie de ce côté et une ama et demie de l’autre côté. Et on ne s’étonnera pas de voir que c’est le terme de largeur qui est utilisé pour parler de la porte, et celui de longueur pour la superficie du vestibule. Car, en ce qui concerne la porte, la hauteur c’est sa longueur, alors qu’est appelée la largeur ce qui va d’un montant l’autre. Quant au vestibule, c’est parce que l’étendue de la saillie de sa superficie d’est en ouest est plus petite que celle de l’espace qui s’étend du nord au sud, l’une étant de huit amoth et l’autre de treize amoth; le verset nomme ainsi la distance la plus importante: la longueur.”
Les battants de la porte – d’après Rachi(74), les portes comportaient des battants. En ce qui concerne la place de ces battants, les avis sont partagés : pour le “Zévéd Tov”, il existe un linteau pour la porte se trouvant à l’entrée de la porte extérieure, comme cela est aussi enseigné dans le traité Midoth(75), à savoir que le terme de ” porte ” signifie une porte avec des battants. D’après lui, la porte s’ouvre vers l’extérieur, et lorsqu’elle est fermée, elle a une largeur de 13 amoth(76). Toutefois, selon le “Tsourath haBaïth”(77), ces montants se trouvent à l’extrémité intérieure du vestibule de la porte (comme cela ressort de notre illustration). Au sujet de la hauteur de ces montants, il convient à première vue d’affirmer qu’elle est de 20 amoth, le double de la largeur de la porte, comme c’était le cas à l’époque du deuxième Temple.
La profondeur de la porte – 6 amoth, comme il est dit(78): “…il en gravit les marches et mesura le saf de la porte, large d’une canne ; quant au saf, lui-même, une canne de large.” Rachi expliquant que la profondeur de la porte est égale à l’épaisseur du mur d’enceinte – 6 amoth.
Les loges des portes
Comme cela a été expliqué plus haut, c’est sur les côtés des portes d’entrée vers la cour extérieure qu’étaient situées les loges. De chaque côté de la porte se trouvaient trois loges, contiguës l’une à l’autre, comme il est dit(79): “Les loges de la porte du côté oriental, trois par-là, trois par ici. Une seule et même mesure pour les trois, et une seule et même mesure pour les pilastres, de part et d’autre.”
En ce qui concerne la taille des loges, il est écrit(80): “Puis la loge, une canne de long et une canne de large; entre les loges, cinq amoth, et le saf de la porte près du vestibule de la porte, à partir du bâtiment, une canne. “Rachi explique que chaque loge a une superficie de 6×6 amoth, et que l’épaisseur du mur entre chaque loge est de 5 amoth. Par conséquent, la largeur de chaque groupe de loges (l’un à droite, et l’autre à gauche de la porte) est de 20 amoth pour l’épaisseur de leurs murs, et de 18 amoth pour ce qui est des loges elles-mêmes, soit, au total, de 38 amoth.
La distance séparant les deux groupes de loges se trouvant des deux côtés de la porte, comme l’affirme Rachi, est de 25 amoth : le mur de la loge – 5, le mur de la loge lui faisant face – 5 ; la loge se trouve elle-même à une distance de – 2.5 amoth de la porte, et ainsi pour la loge située de l’autre côté de la porte – 2.5, et enfin la largeur de la porte elle-même – 10 amoth; au total : 25 amoth.
Éclaircissement: pour calculer la longueur totale de la porte avec les deux groupes de loges se trouvant de chaque côté, on procèdera de la sorte :
. 10 amoth pour la superficie intérieure de la porte.
. 1.5 amoth de chaque côté pour les montants de la porte.
. Une ama supplémentaire pour la distance séparant les montants de la porte des loges(81).
Au total: 15 amoth pour l’entrée, en ajoutant les murs des loges (jouxtant la porte) – 25 amoth.
On comprend maintenant le sens de ce qui est dit dans le verset(82) “Il mesura la porte depuis le toit d’une loge jusqu’à son toit, vingt-cinq amoth de large, une entrée face à une entrée. “, puisqu’il traite de la distance entre les deux groupes de loges à proximité de la porte.
À propos de la conclusion du verset que nous venons de citer, et où il est dit: “une entrée face à une entrée”, Rachi précise: “l’entrée de la loge se trouvant au sud de la porte est orientée vers l’entrée de la loge se trouvant au nord de la porte. ” C’est-à-dire qu’à droite et à gauche de la porte se trouvent 3 loges de chaque côté, en sachant que la loge située à proximité de la porte, de chaque côté de celle-ci, possède une fenêtre orientée en direction de l’entrée, si bien que les fenêtres des loges attenantes à la porte se font face.
Dans son commentaire du verset 16, Rachi ajoute: “ces loges [celles qui se trouvent à proximité de la porte] ne possédaient pas d’ouverture vers l’extérieur, mais l’une était ouverte sur l’autre.” En d’autres termes : les loges attenantes à la porte ne possèdent pas de fenêtres orientées vers l’esplanade du Mont du Temple, mais (comme nous l’avons vu plus haut) une ouverture dirigée vers la porte (qu’on se reporte au plan de la disposition des loges, où il y a seulement deux fenêtres en direction de l’est, au lieu de trois).
À propos de la structure des fenêtres des loges, il est dit dans le verset que les fenêtres étaient “pleines (atoumoth)”(83), et Rachi d’expliquer: “…des fenêtres laissant passer la lumière (cheqoufim) en embrasure, c’est-à-dire étroites du côté intérieur et évasées du côté extérieur, vers l’est.” Il convient de souligner le fait que dans le premier Temple, ainsi que dans le deuxième Temple, les loges étaient situées sur l’aile du Sanctuaire. Alors que dans le troisième Temple, des loges se trouvent aussi dans le mur d’enceinte de la cour. Il y a encore des loges au-dessus du mur entourant la cour extérieure. Il est possible que cela soit venu nous renseigner sur le degré élevé de sainteté se dévoilant dans le troisième Temple selon trois niveaux. Et ce – comme nous l’avons expliqué plus haut – parce que, tout comme dans le troisième Temple se trouvent trois cours, en ce qui concerne les loges, on assiste aussi au dévoilement d’un supplément de sainteté.
Le vestibule de la porte
Comme nous l’avons déjà vu, chacune des trois portes de la cour extérieure possède un vestibule intérieur. Il s’agit là de quelque chose de nouveau dont on ne trouve pas son semblable, ni dans le premier, ni dans le deuxième Temple. Il est possible d’affirmer qu’il y a dans cet ajout une allusion au fait que, pour entrer dans l’enceinte du Temple, il est nécessaire de franchir un stade intermédiaire constituant une sorte de surplus de sainteté et de pureté. Tout comme, dans le premier Temple, le vestibule venait s’ajouter à l’entrée vers le Sanctuaire, ce qui n’existait pas dans le Michkan, ainsi en est-il dans le troisième Temple : il y a un vestibule supplémentaire, et ce, dès l’entrée de l’intérieur de la cour (ainsi qu’à l’entrée du parvis saint, comme cela sera dit plus loin). De même, la longueur du vestibule, comme cela sera expliqué par la suite, est la même que celle qu’il possédait à l’époque du premier Temple – 10 amoth(84). C’est la raison pour laquelle, semble-t-il, les versets font la description détaillée de la structure du vestibule.
La longueur du vestibule – il est dit dans le verset(85):
“…et le saf de la porte près du vestibule de la porte, à partir du bâtiment, une canne. ” Rachi explique: “… avant la porte, il y avait un vestibule (oulam) juxtaposé à la porte, comme cela est explicite dans la description (verset 9). Il dépassait à l’intérieur du parvis des femmes de dix amoth et, à son entrée, se trouvaient des portes et des montants.”
Ensuite, il est écrit(86): “Il mesura le vestibule de la porte, à l’intérieur : une canne. Il mesura le vestibule de la porte, huit amoth; et ses pilastres, deux amoth; le vestibule de la porte, à l’intérieur. “Rachi commente: Il mesura le vestibule de la porte, à l’intérieur: à l’intérieur, par rapport à la porte. …une canne: l’épaisseur des murs de droite et de gauche sur lesquels repose le vestibule. Il mesura le vestibule de la porte, huit amoth: la saillie se poursuivant dans le parvis des femmes. “Il en ressort donc que le vestibule se trouve dans la cour extérieure, constituant comme le prolongement de la porte dont la longueur est de huit amoth. À l’intérieur du vestibule (dans la cour extérieure), sur les côtés, se dressent deux pilastres d’un diamètre de deux amoth chacun, un pilastre de chaque côté. Par conséquent, la longueur totale du vestibule est donc bien de dix amoth(87).
La largeur du vestibule – elle est la même que celle de la porte extérieure avec ses montants, soit 13 amoth(88), le vestibule constituant ainsi le prolongement de la porte. Le calcul est le suivant : la superficie de la porte d’entrée de 10 amoth, la largeur des montants de la porte, de chaque côté, 1.5 amoth ; au total 13 amoth.
Les pilastres – ce sont deux piliers qui se dressent à l’extrémité de la porte, dans sa partie intérieure donnant sur le parvis extérieur. Telle est la manière dont Rachi commente le passage parlant des pilastres: “Tous les pilastres dont il est question dans cette description sont comme des troncs cylindriques faits en pierre de taille, qui se dressent à l’entrée, l’un à droite et l’autre à gauche, comme des colonnes, là où se trouvent les montants. C’est aussi de cette manière que Yonathan traduit le passage “Les amoth des montants s’agitèrent…” (Yecha’ya)(89) [en écrivant] : “Les troncs des montants…”. Ils portent par ailleurs le nom de pilastres (eilim) en référence à leur forme cylindrique, à l’image du térébinthe (éla) et du chêne (alon). …et ses pilastres, deux amoth: il s’agit de leur diamètre. Ils se dressent à l’extrémité de l’étendue du vestibule, l’un accolé au mur droit, et l’autre, au mur gauche. Il ressort de cela que la saillie du vestibule et de ses pilastres est de dix amoth à l’intérieur du parvis [des femmes], en avant de la porte. “En d’autres termes: le vestibule mesure lui-même 8 amoth de long, d’est en ouest, tandis que l’épaisseur des pilastres encastrés dans l’entrée du vestibule donnant sur la cour est de 2 amoth. Par conséquent, la longueur, depuis le début du vestibule jusqu’à la fin des pilastres(90) est de 10 amoth.
Il convient de faire remarquer que des pilastres se dressent aussi à l’entrée de la porte de la cour intérieure, et qu’ils sont dirigés vers les pilastres de la cour extérieure (qu’on se reporte à l’illustration correspondante).
En ce qui concerne la structure des pilastres, il est dit dans les versets(91): “et sur les piliers, il y avait des palmes. “Et Rachi d’expliquer: “…des couronnes au sommet du pilastre qui étaient faites comme une couronne ressemblant au dattier, car dans le Temple de Chelomo, le mot “timoroth” est traduit en araméen par “en formes de dattier”. “Ce qui signifie que le sommet des pilastres était coiffé d’une couronne en forme de dattier.
La hauteur des pilastres est de soixante amoth(92). Or, étant donné que la hauteur de la porte sur laquelle se tiennent les pilastres est de 50 amoth(93), chaque pilastre dépasse donc de la porte sur une hauteur de10 amoth, ce qui ajoute à leur dimension esthétique(94).
La maison des cuisiniers
Aux quatre coins de la cour extérieure (le parvis des femmes) se trouvent des salles dénuées de toit. Il est dit dans le verset(95): “Puis, il me fit sortir dans la cour extérieure et me fit passer auprès des quatre coins de la cour ; or, il y avait une courette au coin de la cour, une courette au coin de la cour. Aux quatre coins de la cour se trouvaient des courettes ouvertes, ayant quarante [ama] de long et trente de large ; une même mesure pour les quatre courettes depuis les coins. Il y avait un parapet tout autour d’elles, autour des quatre, et des fourneaux étaient aménagés au-dessous des parapets tout autour. Il me dit alors : “Voici la maison des cuisiniers, où les serviteurs de la maison feront cuire les sacrifices du peuple.”
“Ces salles sont appelées plus haut” des courettes ouvertes” (qetouroth), c’est-à-dire sans plafond(96) puisque la fumée (qitor) des sacrifices chelamim(97) qui y sont cuits s’échappe de ces salles. Le Malbim a une explication intéressante à ce sujet. Pour lui, le mot “qetoureth” utilisé ici fait appel à l’idée que” on y voit les traces des vapeurs et des fumées, étant donné qu’elles noircissaient sous l’effet de la fumée. “C’est en ce sens qu’il explique ce qui est dit à la fin de notre verset “pour les quatre courettes depuis les
coins ” à partir du passage “Et il fera gratter la maison” (Vayiqra 14, 21), à savoir que la chaux se trouvant sur les murs s’effritait sous l’effet de la fumée et du feu qui y brûlait en permanence.
Dans le deuxième Temple, ces deux cours était utilisées dans le parvis des femmes pour différentes tâches(98), alors que dans le Temple d’Ye’hezqel, on y fait cuire “les sacrifices du peuple”, comme cela a été dit dans le verset précédent. Voici comment Rachi les décrit : “la poitrine et la cuisse des sacrifices rémunératoires (chelamim) parce qu’ils ne sont pas rendus impropres lorsqu’on les sort du parvis Israël, à la différence du sacrifice expiatoire (’hatath) et délictif (acham). “En d’autres termes : les dons faits aux Kohanim, qui sont la poitrine et la cuisse, sont cuits dans cette salle (et non le reste de la viande consommée par les propriétaires du sacrifice)(99).
Il y a lieu de faire remarquer que cela constitue bel et bien une nouveauté, en ce sens que la viande des sacrifices rémunératoires (chelamim) peut être consommée dans tout Jérusalem, à l’intérieur de la muraille d’enceinte, et qu’il n’est pas nécessaire de la faire cuire spécialement dans le parvis saint. C’est pourquoi, le Radaq explique(100) que “les officiers du Temple, qui ne sont autres que les Kohanim, faisaient cuire dans ces salles se trouvant dans le parvis des femmes, les morceaux des sacrifices rémunératoires leur revenant de droit, c’est-à-dire la poitrine et la cuisse. Car, le parvis des femmes est un endroit approprié à la consommation des qodachim qalim, ainsi qu’à l’extérieur, jusqu’à la muraille d’enceinte de Jérusalem. Ces sacrifices étaient en effet consommés dans toute la ville, et même un Israël pouvait, s’il le désirait, manger sur place, dans le parvis des femmes, les morceaux lui revenant. ” En d’autres termes : pour le Radaq aussi, l’utilisation de ces salles est réservée aux Kohanim puisque ces derniers se trouvent, de fait, dans le Temple(101). Il est peut-être possible de dire que nous assistons, ici, au dévoilement d’un niveau de sainteté particulier. Les Kohanim ne procèdent en effet pas seulement à l’abattage rituel des sacrifices, dans le troisième Temple, ils effectuent aussi, à l’intérieur même du Temple, la cuisson de leurs propres sacrifices, de telle sorte qu’on se trouve en présence, ici, d’un supplément dans le dévoilement de la sainteté.
La structure de la salle – la taille globale de la cour est de 40×30 ama, comme cela est précisé dans les versets. Le Radaq explique que cette longueur de 40 ama correspond à celle qui est prise d’est en ouest(102).
En ce qui concerne la structure intérieure de la salle, il a été dit plus haut(103): “Il y avait un parapet tout autour d’elles, autour des quatre, et des fourneaux étaient aménagés au-dessous des parapets tout autour.
“Rachi commente(104): “une rangée de pierres ; un muret de pierres sortant de la muraille, attenant au sol, et à l’intérieur duquel se trouvent des trous, servant d’emplacement pour poser les marmites, et sous ce parapet il y avait un espace pour y allumer le feu par-dessous, tandis que les marmites sont au-dessus.
…et des fourneaux: il s’agit du vide se trouvant sous l’emplacement réservé aux marmites. “Ce qui signifie que dans la longueur du mur intérieur de chacune des quatre salles se trouve une rangée de pierres (ressemblant à une plaque) dans laquelle il y a des trous afin d’y placer les marmites pour cuire la viande des chelamim.
Il est intéressant de noter que c’est avec l’expression “la maison des cuisiniers” qu’est scellée la description de la structure du Temple dans la prophétie d’Ye’hezqel.
(72) Chapitre 40, verset 15.
(73) Chapitre 40, verset 11.
(74) Chapitre 40, verset 7, “et le saf de la porte”.
(75) Chap. 2, Michna 3.
(76) Dans la version dont nous disposons de Rachi, dans le passage commençant par les mots “treize amoth”, il est dit : Et on ne s’étonnera pas de voir que c’est le terme de largeur qui est utilisé pour parler de la porte, et celui de longueur pour la superficie du vestibule. Car, en ce qui concerne la porte, la hauteur c’est sa longueur… “Par la suite, Rachi explique qu’étant donné que la distance entre le nord et le sud est de 13 amoth, alors que d’est en ouest, elle est seulement de 8, il en ressort que cette largeur correspond en fait à sa “longueur”. Rachi apporte une preuve à ses dires d’un verset à propos du Temple de Chelomo (Melakhim 1, 6, 3) où il est dit: “Le portique avant du Sanctuaire avait vingt amoth de long, dans le sens de la largeur de l’édifice. ” D’où il apprend que la mesure la plus grande est appelée la “longueur”. Il y a donc lieu, a priori, de modifier cette version de Rachi et de dire à la place que le terme de ” hauteur ” désigne la “largeur”. Mais il ressort des commentateurs (que ce soit le Levouchei Serad ou le Zévéd Tov) qu’ils ont conservé cette version de Rachi, et qu’ils ont même cherché à justifier ses propos. Quoi qu’il en soit, les paroles de Rachi nous semblent difficiles à comprendre.
(77) §5, 6. On se reportera, infra, à la question de la structure du vestibule de la porte.
(78) Chapitre 40, verset 6.
(79) Chapitre 40, verset 10.
(80) Chapitre 40, verset 7.
(81) Cet espace est exposé dans le verset: “Et une limite devant les loges d’une ama [d’un côté], et d’une ama, une barrière de l’autre [côté]. Quant à la loge, six amoth 65 d’un côté et six amoth de l’autre.”
(82) Chapitre 40, verset 8.
(83) Chapitre 40, verset 16. (86) Chapitre 40, versets 8-9.
(84) En prenant en compte les pilastres, comme cela est expliqué ensuite.
(85) Chapitre 40, verset 7.
(86) Chapitre 40, versets 8-9.
(87) Qu’on se reporte, infra, à la question des pilastres
(88) On consultera, supra, notre commentaire sur la largeur de l’entrée.
(89) Yecha’ya 6, 4.
(90) C’est-à-dire d’est en ouest.
(91) Verset 16.
(92) Chapitre 40, verset 14.
(93) D’après le commentaire de Rachi sur le verset 15.
(94) D’après le “Levouchei Serad”, et ce, bien que ne soit pas précisée la hauteur du mur d’enceinte de la cour extérieure.
(95) Chapitre 46, versets 21-24.
(96) Comme cela ressort du traité Midoth, chap.2, Michna 5. D’après le Radaq dans son commentaire du verset, le mot “qetoureth” signifie “attachées” étant donné que ces cours sont contiguës aux ailes du parvis.
(97) Le Gra.
(98) Cf. traité Midoth, idem, ainsi que les “Hilkhoth Beith haBe’hira”, chap. 5, Halakha 8. Ces salles sont les suivantes: la salle d’entrepôt du bois, la salle d’attente des lépreux, la salle de l’huile et la salle des nézirim. Seule la salle des nézirim était utilisée dans le deuxième Temple pour la cuisson de la chair des sacrifices.
(99) Pourquoi n’est-il pas dit que le peuple aussi faisait cuire le reste de la viande des sacrifices, celle qui est consommée par leurs propriétaires, dans cette salle ? Peut-être est-il possible de répondre que cela ressort explicitement des mots du verset où il est dit que les Kohanim sont les “serviteurs du Temple”, et que ce sont donc eux qui y font cuire la partie du sacrifice qui leur est réservée (alors que le peuple faisait cuire le reste de la viande des sacrifices dans la ville de Jérusalem).
(100) Chapitre 46, verset 24.
(101) D’après les mots du “Metsoudoth David”, il ressort que, pour lui, seuls les Kohanim utilisaient cette salle.
(102) C’est ce qu’on trouve dans le “Metsoudoth David”. Le Malbim ajoute que si cette longueur était celle qui va du nord au sud, il n’y aurait pas de place pour cette salle qu’il appelle “la salle du cent”. Qu’on se reporte à son commentaire du chapitre 42, verset 1, où il explique que les salles à l’intérieur de la cour extérieure ne laissent vacant qu’un espace de 33 amoth seulement du nord au sud, si bien que la largeur de “la maison des cuisiniers” ne peut pas atteindre les 40 ama. On consultera aussi, infra, notre commentaire à propos des “salles de la cour”.
(103) Chapitre 46, verset 23.
(104) Cf. Radaq et ״Metsoudoth David”.
Extrait du livre “Trésors du Troisième Temple”, du Rav Mena’hem Makover
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