La newsletter est dédiée pour l'élévation de l'âme des soldats et des civils israéliens , et pour le retour immediat des otages israéliens.
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La légende du ver shamir, qui était utilisé pour tailler les pierres de l'autel car il était interdit de couper les pierres de l'autel avec du fer, raconte les grands efforts déployés par le Roi Salomon pour construire le Temple. Regardez l'histoire du ver shamir >>
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Les chapiteaux de pierre du Mont du Temple
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La structure du Mont du Temple que nous connaissons aujourd’hui est la même que celle de l’époque du deuxième Temple ! une grande esplanade avec, en son centre, le lieu le plus saint du monde. Le dôme du Rocher est à l’endroit même du Temple et du Saint des Saints. Au sud de l’esplanade se tient la mosquée Al-Aqsa,mais à l’époque du deuxième Temple, c’était le portique royal: un bâtiment couvert avec d’imposantes colonnes ornées de chapiteaux. Entre le portique royal et le Temple se trouve jusqu’à aujourd’hui une structure recueillant l’eau centrale le « kos ».
Yossef ben Matityahou raconte que cette magnifique galerie a été construite dans le pur style gréco-romain, avec 162 colonnes qui se dressaient sur quatre rangées d'une hauteur près de 13 mètres ! Et un chapiteau sculpté et plaqué d’or.L’une des fonctions de cet impressionnant édifice, c’était de pouvoir accueillir des personnalités non-juives ou l’entrée du Temple leur était interdite .
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Les chercheurs sont divisés sur la question de savoir de quand datent ces chapiteaux : sont-ils de l’époque du deuxième Temple –du portique royal –, ou de l’époque byzantine ? Pendant ces deux périodes, en effet, on avait coutume d’utiliser ce genre de chapiteaux, il n’est donc pas possible de savoir avec certitude quel est l’âge des chapiteaux les plus anciens. Au fil des ans, de nombreuses constructions sont apparues sur le Mont du Temple, et de nombreuses autres ont été démolies ou d’autres incorporés à des constructions plus récentes.
Mais une chose est sûre : la richesse des ornements architecturaux qui ressort de ces chapiteaux lors de ces époques différentes, nous révèle qu’au cours des périodes qui se sont succédé, de grands moyens ont été investis pour la décoration des édifices se trouvant sur le Mont du Temple, depuis le monde antique jusqu’à aujourd’hui.
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En 2024 , 5056 Juifs Israeliens et 3770 touristes sont montés sur le Mont du Temple. Et vous ? (Credit Journal Makor Richon).
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En vérité, des jours viendront, déclare l'Éternel, où l'on ne proclamera plus : "Vive l'Éternel qui a fait monter les enfants d'Israël du pays d'Égypte" (Jérémie 16,14).
Il ne faut pas comprendre cela comme le déni de la sortie d'Égypte. Au contraire, c'est l'asservissement ultérieur des nations qui deviendra prépondérant, transformant la sortie d'Égypte en un événement mineur. Le verset ne suggère pas que les atrocités de l'Égypte deviendront moins importantes, mais plutôt que l'histoire et les miracles associés seront relégués à un rang secondaire. C'est pourquoi l'expression "on ne dira plus" est utilisée, car les miracles de l'Égypte deviendront obsolètes.
Toutes les fêtes commémorent la sortie d'Égypte, mais elles seront éclipsées par la splendeur des jours messianiques. Les miracles de cette époque seront d'une telle grandeur que les prodiges liés aux fêtes perdront leur pertinence.
En revanche, les miracles de la fête de Pourim sont liés à l'éradication d'Amalek, condition sine qua non de la Délivrance finale. Nous comprenons alors que ces miracles sont de la même envergure que ceux des jours messianiques, où le Nom et le Trône seront élevés. C'est pourquoi les jours de Pourim ne seront pas supprimés, car ils rappellent la délivrance finale.
(propos du Rabbin Zvi Elimelech Shapira z"l : Les secrets du Bnei Issah'ar)
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"Qui a le coeur content est perpétuellement en fête"
(proverbe 15;15)
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Bien à vous,
L'équipe du 3rd Temple,
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